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LA MUTUELLE DES ETUDIANTS en ALSACE
Le blog des élus étudiants de la section Strasbourg-Colmar-Mulhouse
11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 08:38
Nicolas Sarkozy a présenté fin septembre son plan « Agir pour la jeunesse ».
Mesure phare du plan : l’extension du revenu de solidarité active (RSA) aux jeunes de 18 à 25 ans ayant travaillé au moins deux ans durant les trois dernières années. Mais le RSA ne sera pas ouvert aux jeunes n’ayant jamais travaillé. Il s’agit pourtant d’une situation discriminatoire selon le Conseil de l’Europe. 
Les 300 000 jeunes chômeurs non indemnisés qui ne remplissent pas les conditions d’éligibilité au RSA en sont donc exclus à cause de leur âge . Il ne reste de l’annonce du président qu’une extension du RSA « complément de revenu » aux 160 000 jeunes déjà au travail. Pour ces jeunes actifs, c’est un coup de pouce de 50 à 100 euros par mois. 
Les 650 000 jeunes diplômés qui tentent d’entrer chaque année sur le marché du travail et les 62 % des jeunes diplômés en 2008 qui n’ont toujours pas trouvé de travail au bout d’un an n'auront, eux, aucune aide.
Si par ailleurs, on peut se féliciter de l’augmentation de l’aide à l’acquisition d’une complémentaire santé (qui passe de 100 à 200 euros), peu d’étudiants en bénéficieront du fait de l’obligation d’établir une déclaration fiscale indépendante. 
C'est pourquoi, La Mutuelle Des Étudiants (LMDE) demande le versement à chaque étudiant d’un « chèque santé » qui pourrait être géré par les Crous sur critères sociaux: aujourd'hui 13% des 2 200 000 étudiants n'ont pas de complémentaires santé et 23% renoncent aux soins faute de moyens (enquête LMDE/EPSE, 2008). Plusieurs régions ont déjà eu cette initiative: Picardie, Nord-Pas De Calais, Champagne, PACA... Dans ces régions une aide forfaitaire de 100 euros environ est accessible pour acquérir une complémentaire étudiante de base sur simple conditions de revenus et à condition de poursuivre des études dans la région concernée(il s'agit généralement d'une aide en direction des étudiants boursiers sur critères sociaux).
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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 09:45


un journal féministe à lire absolument: osez le féminisme
et sur facebook
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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 09:05
la LMDE dispose d'une garantie adaptée au régime local d'Alsace-Moselle:

plus d'infos:

lmde.com

dépliant garantie lmde au régime local d'Alsace-Moselle

adhérer à la LMDE
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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 08:54

Depuis le 1er octobre, le contrat Etud'Expat offre une couverture sociale «à la française» aux jeunes poursuivant leurs études à l'étranger en dehors de tout programme d'échange. (...)

Les choses sont plus compliquées pour [les étudiants] qui s'inscrivent de leur propre initiative dans une université étrangère. Jusqu'à présent, ils ne pouvaient bénéficier que d'assurances privées du type rapatriement/assistance. Ces systèmes couvrent plusieurs faits accidentels, mais ne peuvent se comparer à une couverture santé globale

Depuis le 1er octobre, ce vide est comblé, grâce au rapprochement de la LMDE (La Mutuelle des Etudiants) et de la CFE (Caisse des Français de l'étranger). Ensemble, ils ont créé un contrat Etud'expat qui permet à la mutuelle étudiante d'étoffer sa gamme de produits tout en positionnant la CFE sur le marché des étudiants où elle est peu présente alors que nombre d'entre eux seront les expatriés de demain.

Le gros avantage de cette formule c'est qu'elle est ouverte à tous sans questionnaire médical ni exclusion de garantie ou plafond annuel de remboursement. C'est aussi une assurance qui se coordonne avec le régime français de sécurité sociale et permet ainsi d'éviter toute perte de doits. Par exemple, une grossesse qui aurait débuté à l'étranger pourrait ensuite être prise en charge en France ou vice versa. (...) c'est à ce jour le seul système offrant une couverture sociale complète.

Renseignement : www.lmde.com
 (d'ap Une nouvelle Sécu pour les étudiants expatriés
Jean-Bernard Litzler  figaro.fr)
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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 08:46

Suite à la présentation du plan d’urgence pour la jeunesse présentée le 29 septembre par Nicolas Sarkozy, les réactions ne se sont pas fait attendre. Si le syndicat étudiant, l’UNEF, se félicite de la création d’un 10 ème mois de bourse pour couvrir les dépenses étudiantes de la rentrée, il dénonce l’insuffisance des mesures envisagées pour protéger les jeunes de la crise.

Concernant, le Revenu de solidarité active, étendu aux jeunes actifs, présenté comme la mesure phare du plan d’urgence, l’Unef dénonce une annonce en trompe l’oeil. Les jeunes remplissant les conditions fixées par Nicolas Sarkozy (avoir travaillé au moins 2 ans au cours des 3 dernières années) peuvent déjà bénéficier de l’indemnisation chômage et n’auront ainsi pas le droit de les cumuler avec le RSA.
Pour les 300 000 jeunes au chômage non indemnisés, ils ne peuvent remplir les conditions d’éligibilité au RSA et restent donc sans aucun droit social et exclus à cause de leur âge des minimas sociaux : au final, il ne reste de l’annonce du président qu’une extension du RSA « complément de revenu » pour les 160 000 jeunes déjà au travail.
Pour ces jeunes actifs, il s’agit d’un coup de pouce de 50 à 100 euros par mois en terme de pouvoir d’achat. Nous sommes bien loin de la volonté affichée de faire entrer les jeunes actifs dans un dispositif de droit commun lié au statut de travailleur sans critère d’âge. N’auront droit à rien les 650 000 jeunes diplômés entre chaque année sur un marché du travail sinistré et les 62 % des jeunes diplômés en 2008 qui n’ont toujours pas trouvé de travail au bout d’un an.

D’autre part, si l’Unef se félicite du montant de l’aide à l’acquisition d’une complémentaire santé (qui passe de 100 à 200 euros), le syndicat craint que peu d’étudiants en bénéficie du fait de la nécessité de disposer d’une déclaration fiscale indépendante.
L’Unef et la Mutuelle des étudiants (LMDE) demandent le versement à chaque étudiant d’un « chèque santé » qui pourrait être mis en place par les CROUS. Enfin, la LMDE regrette que Nicolas Sarkozy n’ait pas relancé son autre promesse de « donner des moyens pour créer des Maisons de la santé étudiante sur chaque pôle universitaire ».
Aujourd’hui 23 % des étudiants renoncent à des soins pour raisons financières, et 15 % d’entre eux n’ont pas de complémentaire santé. (...)

(d'après  Anne-Marie Thomazeau /www.viva.presse.fr)
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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 15:37
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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 15:34
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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 07:47

Une enquête confirme que les étudiants sont inégaux devant le stress. Rien de surprenant, mais de quoi donner à réfléchir aux élus.


ON pouvait s'en douter mais une enquête chiffrée vient de le confirmer : les étudiants sont inégaux devant le stress. A Reims c'est presque du 50-50 : 49 % des 400 personnes interrogées en avril dernier par la Mutuelle des étudiants (LMDE) dans le cadre d'une vaste réflexion sur la gestion du temps par les étudiants se déclarent stressés. 
On ne s'étonnera guère de cette inégalité, provenant largement des contextes sociaux respectifs. Il y a de grandes différences entre Antoine, en deuxième année de médecine, hébergé chez ses parents et qui n'a pas besoin de travailler à côté de ses études pour les financer, et Laura par exemple. Cette jeune fille est en deuxième année de philo, elle vit dans un appartement en ville, doit régulièrement se débrouiller pour sa popote même si elle fréquente aussi de temps en temps les restos U, et tout en étudiant à Reims, travaille à Épernay, quatorze heures par semaine : « Je donne des cours de langue et d'informatique dans une société de soutien scolaire et de formation continue ». 
Autant le premier appartient sans conteste au groupe des non stressés, « pas de problème de sommeil particulier » indique-t-il avec un sourire, autant la seconde fait sans doute partie des 49 % cités plus haut. « Je ne peux pas dormir énormément », confie-t-elle, « je me couche régulièrement vers minuit une heure du matin, et je me lève entre cinq et six heures ». La conciliation job-études est même si problématique pour elle qu'elle ne suit pas les cours normaux. « Je me suis inscrite à un service de cours à distance, même si c'est plus cher. » 
Absentéisme et transport 
Cela dit, le contexte socio-familial n'est pas tout. Ainsi Shirley, en master de 

langues étrangères, ne travaille pas à côté de ses cours - « ce sont mes parents qui payent mes études » - et pourtant elle avoue être angoissée : « Quand je vois le soir toutes les choses qui me restent à faire, je n'arrive pas à dormir ! » Et puis, pour en revenir au comparatif Antoine-Laura, on remarquera que, comme par hasard, le non stressé des deux étudie dans une fac qui n'a pas eu à souffrir des actuelles perturbations (médecine). 
Comment répondre à ces divers problèmes ? Le but de l'enquête de la mutuelle étudiante était justement « d'amener les élus des collectivités locales à prendre conscience de ce genre de réalités et d'imaginer des réponses », indique son jeune président Damien Berthilier. On pense bien sûr, pour ce qui est des inégalités sociales, à des aides financières du genre bourses. Malheureusement, « l'action sociale en faveur des étudiants n'est pas du ressort de la ville ni de l'agglomération », indique l'adjoint Stéphane Joly. 
En revanche, il est un autre résultat de la même enquête qui touchera davantage l'équipe de Mme Hazan, puisqu'elle concerne les transports, compétence de Reims métropole. Il apparaît en effet que ce sont précisément les problèmes de transports la première cause d'absentéisme aux cours chez notre échantillon rémois ! 42 % (alors que l'exercice d'une activité professionnelle à côté des études par exemple ne vient qu'en 4e position). 
La médiane du temps de trajet quotidien est de 30 minutes, trajet effectué en majorité par les transports en commun (54 %, contre 8 % pour le vélo par exemple). 
Là, il y a matière à creuser pour nos élus ! 

 

Antoine


PARDESSUS

www.lunion.presse.fr

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 10:41

 


L’Agence régionale d’hospitalisation a rappelé vendredi les mesures à prendre en cas de problème de santé pendant le Sommet de l’Otan. En cas de problème inopiné, les résidents en zone sécurisées doivent appeler leur médecin traitant. S’il n’est pas disponible ou que la situation nécessite un spécialiste, il faut s’adresssr à un médecin installé dans le quartier.
S’ils ne sont pas joignables, il faut appeler le 03.88.11.69.00, un numéro accessible 24 h sur 24 du jeudi 2 avril 20 h au dimanche 5 avril 8 h.
Hors zones sécurisées, l’accès aux soins se fait de manière habituelle. Pour connaître le médecin de garde, appeler le 03.88.11.69.00. Ou appeler directement SOS médecins au 36 24 ou l’Asum au 0.800.71.36.36.
Pour les femmes sur le point d’accoucher, appeler le 15 pour faire venir une ambulance.
En cas d’urgence médicale, appeler le médecin traitant ou bien la permanence des soins au 03.88.11.69.00 ou encore SOS médecins ou l’Asum (voir plus haut).
Si une hospitalisation s’avère nécessaire: les habitants de Strasbourg sont invités à rejoindre la clinique Sainte-Odile du Neudorf; les habitants du nord et nord-ouest de Strasbourg, le centre hospitalier de Haguenau; ceux du sud, l’hôpital civil d’Obernai et le centre hospitalier de Sélestat.

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12 mars 2009 4 12 /03 /mars /2009 09:34

 

L'Etablissement Français du Sang (EFS) lance le 1er mars 2009, durant un mois, la deuxième vague d’une campagne pour fidéliser les jeunes donneurs tout au long de leur vie afin de faire du don de sang un acte régulier.

Des jeunes mobilisés mais qui ne réitèrent pas assez leur acte

Parmi les 1,6 millions de donneurs en 2007, les jeunes de moins de 30 ans représentent 34,4% mais donnent leur sang 1,3 fois par an, c’est-à-dire moins que la moyenne nationale des donneurs (1,6). L’EFS souhaite donc les inciter à une mobilisation soutenue (au moins 2 dons par an) pendant leurs études et les fidéliser pour qu’ils donnent tout au long de leur vie.

Des actions au sein des établissements

Une nouvelle campagne "de terrain" (initiée en octobre 2008) est ainsi reconduite, du 1er au 31 mars 2009, pour rappeler aux étudiants la quotidienneté des besoins et l’enjeu de l’autosuffisance en France. A ce jour, 183 établissements ont déjà signé un accord de partenariat avec les ETS régionaux. Plusieurs actions y seront menées : une campagne d’affichage "Le don du sang, un autre moyen de vivre une expérience forte", la distribution de flyers, mémo-agendas, et goodies sur les lieux de collecte pour informer sur le don de sang, l’organisation de collectes mobiles, aisément repérables grâce à un fléchage "on vous emmène" au sein des établissements.

Le Challenge étudiant a été un succès

Créer une campagne qui fasse bouger le don de sang en France, tel était l’enjeu du Challenge étudiant, inauguré en octobre 2008 par l’EFS. Avec plus de 200 demandes d’inscriptions sur Internet, les étudiants se sont fortement mobilisés pour ce Challenge. Récemment distingués par un jury composé du CNOUS, de la LMDE, de la CPU et de l’EFS, les lauréats ont remporté un séjour UCPA prévu en avril 2009. Les lauréats sont : un groupe d’étudiants de l’université de l’ESCEM (Ecole supérieure de commerce de Tours-Potiers) dans la catégorie "Créativité" pour leur campagne "Sang pour sang", un groupe d’étudiants de l’Institute of Paris, école de management dans la catégorie "Interactivité" pour leur campagne "Dynamip" et un groupe d’étudiants de l’IFSI Saint Martin de Grenoble, dans la catégorie "Pédagogique" pour leur campagne "Les globulos".

Plus d’infos : www.jeunes.dondusang.net

Donner son sang sur le campus de Strasbourg (cf le site du SUMPS):

 Comment se déroule un don du sang ?
1 - Vous êtes accueilli(e) par une secrétaire qui enregistre votre dossier
2 - Vous remplissez un questionnaire Médical
3 - Vous vous entretenez avec un médecin afin qu'il décide de votre aptitude au don.
4 - Vous êtes prélevé(e) par une infirmière.
5 - Vous vous reposez un moment et une collation vous est offerte

 Conditions pour donner :
Conditions d’âge
Le don du sang est possible de 18 à 65 ans, et des règles particulières s'appliquent à chaque type de don (sang total, plasma ou plaquettes)

Conditions de santé
Pour donner son sang, il faut être en bonne santé.
Un questionnaire médical est rempli systématiquement avant chaque don et un entretien confidentiel avec un médecin permet de vérifier si l’on peut effectuer le don. Il ne faut pas être à jeun.

 Les principales Contre-indications au don du sang :
- Vous pesez moins de 50 kg.
- Vous avez eu une transfusion de sang.
- Vous avez subi une intervention chirurgicale ou une endoscopie ( coloscopie, gastroscopie ..) dans les 4 derniers mois.
- Vous avez actuellement une infection ( toux, diarrhée, infection urinaire …) ou vous prenez des antibiotiques.
- Vous avez subi une extraction dentaire depuis 1 semaine, un détartrage ou un traitement des racines au cours des 3 derniers jours.
- Vous êtes revenu d’un pays tropical (zone de paludisme) depuis moins de 4 mois.
- Vous êtes enceinte ou vous avez accouché au cours des 6 derniers mois.
- Vous ou votre partenaire êtes porteur du virus du SIDA ou du virus de l’hépatite C.
- Vous avez été dans une situation pouvant vous exposer aux virus du SIDA ou des hépatites : relations sexuelles avec un partenaire à risques, prise de drogue par seringues ou par « snif ».

 Les différents types de don :

A la portée de tous, ce geste n’a rien d’exceptionnel, il n’est ni pénible ni héroïque, c’est un acte simple et solidaire.

Le don du sang total
- C’est la forme la plus connue, il dure de 45 minutes à 1 heure. Une poche de 450 ml est prélevée ainsi que des tubes échantillons à partir desquels seront effectués une série de contrôles et des tests.
- Un homme peut donner son sang jusqu’ à 5 fois par an et jusqu’ à 3 fois pour une femme.
La transfusion sanguine est indispensable en cas d’ hémorragie
importante lors d’un accident ou d’une intervention chirurgicale.
Le don de plaquettes
- Ce type de don dure environ 2 h 30.
Les plaquettes sont indispensables aux patients en chimiothérapie car le traitement détruit les cellules de la moelle épinière.
Le don de plasma
- Ce type de don dure de 1 h à 1 h 30.
- A partir du plasma, on fabrique différent médicaments qui sont les seuls remèdes pour de nombreux malades ( hémophiles, personnes atteintes de graves déficits immunitaires).


 Où donner son sang :
 Etablissement Français du Sang ( EFS)
10 rue Spielmann – 67000 Strasbourg
Lundi et mercredi de 8h à 16h
Mardi, jeudi et vendredi de 8h à 20h
Samedi de 8h à 12 h
 Prenez rendez-vous pour faire un don au 03 88 21 25 03

Vous pouvez également donner votre sang lors d’une collecte mobile :
 Renseignez-vous sur le site
www.efs-alsace.fr

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La Lmde

  • la LMDE en Alsace
  • la référence en matière de protection sociale étudiante En assurant la gestion de la Sécurité sociale de près de 800000 affiliés en France métropolitaine et Outre-Mer,la LMDE est au coeur de la vie des étudiants.
  • la référence en matière de protection sociale étudiante En assurant la gestion de la Sécurité sociale de près de 800000 affiliés en France métropolitaine et Outre-Mer,la LMDE est au coeur de la vie des étudiants.

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à STRASBOURG (67)
La Mutuelle des Etudiants (LMDE)
10 rue de l'abreuvoir, 67000 STRASBOURG


à COLMAR (68)
La Mutuelle des Etudiants (LMDE)
34 rue Grillenbreit, 68000 COLMAR


à MULHOUSE (68)
La Mutuelle des Etudiants (LMDE)
Bâtiment MCA 1er étage
5, boulevard de l'Europe
68100 Mulhouse


par téléphone:

3260 dites LMDE
15cts/min

Site : www.lmde.comlink

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S'engager pour sa santé

La LMDE c'est aussi un choix militant!

La mutuelle est d'abord gérée par les étudiants pour les étudiants, c'est pourquoi une Assemblée Générale de 277 délégués dirige la mutuelle et élit en son sein le Conseil d'Administration de la LMDE; en Alsace 5 délégués, dont un Président, un Secrétaire Général, et une Trésorière, secondés par toutes les bonnes volontés qui le souhaitent, oeuvrent pour améliorer les conditions de santé des étudiants et faciliter l'accès de tous à l'autonomie, en travaillant à la définition de la gamme de prestations, en menant des actions de prévention, en lançant des festivals, des conférences...
Au delà de son rôle de gestion de la protection sociale, la LMDE est donc aussi un lieu d’engagement et de promotion des valeurs mutualistes. Tout au long de l’année, ta mutuelle s’engage dans des campagnes d’opinion, de prévention et d’éducation à la santé, agissant ainsi comme un véritable Observatoire de la Santé des étudiants.C'est aussi des campagnes militantes pour sensibiliser les étudiants aux débats qui les concernent
  • La réforme de l'assurance maladie

    les jeunes générations payeront plus qu'elles ne recevront, le coût de l'accès au soin est accru et la prévention est négligée.

    De plus, il n'est pas certain que ces mesures suffisent à combler les déficits et à assurer l'avenir de notre système. Le ministre de la santé a même annoncé que d'autres dispositions ouvrant la voie à la privatisation partielle du système seraient prises si les déficits n'étaient pas résorbés.
    Plus que jamais, la vigilance de tous les assurés sociaux est nécessaire pour préparer l'avenir.

Le respect, c'est mutuel-le

Face aux violences du quotidien, aux violences sexistes, à la marchandisation des corps, la LMDE s'engage pour le respect et l'égalité, contre les tabous et l'ordre moral.

La santé des étudiants n’est pas un business
A l’occasion de cette campagne menée dans toutes les universités, la LMDE rappelle et défend les valeurs qu’elle porte : solidarité, non-discrimination, accès égal aux soins, non-sélection du risque, …
 
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